Cancer: la découverte du Docteur Hamer


CANCER: LA DECOUVERTE DU Dr HAMER
En 1981 : découverte de la loi d’Airain du cancer. Le Docteur Ryke Geerd Hamer publie son premier livre :
La MÉDECINE NOUVELLE

Le Docteur Hamer affirme que tout cancer résulte d’un choc psychique, conflictuel, dramatique, vécu dans l’isolement. Au cerveau se manifeste une altération visible au scanner cérébral : le FOYER DE HAMER . Au même moment, il s’ensuit l’amorce d’un cancer dans la partie bien spécifique du corps, dont l’emplacement exact est déterminé par le Foyer de Hamer au cerveau. Il y a donc :
Le psychisme = Programmeur
Le cerveau = Ordinateur
L’organe = La Machine

La médecine d’école est basée sur près de 5000 hypothèses, la Médecine Nouvelle est établie empiriquement et repose sur 5 lois biologiques qui peuvent être vérifiées à n’importe quel moment sur n’importe quel patient et se passe d’hypothèses. Les maladies ne sont pas des pannes malignes, mais des programmes spéciaux et sensés de la nature.

Les 5 lois biologiques

1ère loi biologique : La loi d’Airain du Cancer
L’expression « Loi d’Airain du cancer » est liée à l’histoire. Au tout début, je cherchais « seulement » les tenants et aboutissants des maladies cancéreuses. Lorsqu’en 1981, à Oberaudorf près de Kufstein (3 ans après mon propre cancer), je fis la découverte de la 1ère loi biologique, je la nommai « Loi d’Airain du cancer », avec ses 3 critères.
1er critère :
Tout cancer ou maladie équivalente débute par un DHS (Dirk Hamer Syndrome), c’est-à-dire un choc conflictuel :
•extrêmement brutal
•dramatiquement vécu
•dans l’isolement
A l’instant du DHS, il se produit un foyer de Hamer aux 3 niveaux :
1.psychique
2.cérébral
3.organique

2ème critère :

A l’instant du DHS, c’est la teneur du conflit qui détermine aussi bien la localisation du foyer de Hamer au cerveau que la localisation du cancer ou équivalent, dans l’organe.
3ème critère :
A partir du DHS, il y a corrélation exacte entre l’évolution du conflit et celle du cancer ou équivalent, au double niveau cérébral et organique.

2ème loi biologique :
Toute maladie connue en médecine présente une évolution biphasique à condition que le conflit ait été résolu.
Autrefois, on décrivait dans nos livres de médecine quelques centaines de  » maladies froides  » et autant de  » maladies chaudes « .
En cas de  » maladies froides « , le patient présentait une peau froide, des extrémités froides, un état de stress durable, une perte de poids et des perturbations survenant durant la période d’endormissement ou des troubles survenant durant le sommeil.
A ce groupe de maladies étaient rattachés par exemple le cancer, la sclérose en plaque, l’angine de poitrine, les neurodermites, le diabète, les pathologies du mental et de l’humeur, etc…
Aux  » maladies chaudes  » se rattachaient toutes les autres pathologies comme par exemple les infections, les rhumatismes, les allergies, les exanthèmes…

Il faut maintenant constater que tout cela n’était pas exact. Aucune de ces maladies dites froides ou chaudes ne constituaient en soi une maladie à proprement parler, mais plutôt une des deux phases de la maladie. C’est toujours la  » phase froide  » qui survient la première et, en second lieu, la  » phase chaude  »

3ème loi biologique :

Le système ontogénétique des tumeurs et équivalents de cancers.
Ces relations sont fondamentalement neuves. Il n’existe absolument rien à ce sujet dans toute la littérature médicale.
Le système ontogénétique des tumeurs et équivalents de cancer repose sur les critères suivants :
1er critère :

Les conflits apparentés aux feuillets embryonnaires sont également en correspondance avec :
•des relais cérébraux apparentés aux feuillets embryonnaires dans le cas de conflit actif, ce que j’appelle les foyers de Hamer (F.H.)
•des organes correspondant aux feuillets embryonnaires qu’ils touchent
•des structures histologiques caractéristiques de ces feuillets embryonnaires

2ème critère :
Les conflits qui ont leur impact dans le cerveau ancien (tronc cérébral et cervelet), se traduisent par des mitoses cellulaires durant la phase de leur activité et par des phénomènes de caséification microbienne et de déblayage des tumeurs durant la phase de guérison post-conflictolytique (phase PCL).
Les conflits qui ont leur point d’impact dans le cerveau nouveau (moelle cérébrale pour les tissus mésodermiques plus récents et cortex pour les tissus d’origine ectodermique), présentent des pertes cellulaires, nécroses, ulcères, durant leur phase active ou pour ce que j’appelle les équivalents de cancer, exclusivement des troubles, voire des pannes fonctionnelles.

3ème critère :
Chacune de ce que l’on a coutume d’appeler  » maladies « , qu’elle corresponde à la phase active ou à la phase PCL, possède un sens biologique bien réel que nous devons nous efforcer de redécouvrir par le recours à l’embryologie et à l’éthologie.
Cela signifie, en clair, que chaque maladie constitue un programme spécial pour résoudre un problème biologique inattendu et peu ordinaire.

4ème loi biologique :

Le système ontogénétique des microbes.
Chacune des différentes catégories de microbes a une action spécifique sur chaque tissu embryonnaire qui lui correspond. Les microbes interviennent donc toujours durant la phase de guérison, sur des groupes de tissus dont l’origine embryonnaire explique leur spécificité d’action. Tous les microbes interviennent sous le contrôle du cerveau. Ils ne sont en aucun cas responsables des symptômes propres à la phase de guérison. Au contraire, ils lui permettent de se dérouler de manière optimale !
Ce que l’on appelle  » le système immunitaire « , que l’on nous a présenté comme une sorte d’armée au service de notre organisme, qui aurait la mission de détruire en leur livrant bataille les cellules cancéreuses et les  » méchants  » microbes n’existe plus pour moi selon cette ancienne compréhension. Sous les ordres du cerveau, ces microbes que nous avons considérés comme pathogènes, deviennent inoffensifs voir même utiles. On peut les retrouver partout dans notre organisme. Ils ne seront réactivés qu’en cas de nouvelle conflictolyse pour remplir leur fonction utile, et cela selon le tissu qui leur correspond.
Prisonniers de notre conception des microbes en matière d’hygiène, nous avons cherché à extirper  » ces travailleurs saisonniers  » de notre organisme.
Nous avons réduit les cas de tuberculose. Ce faisant, nous avons empêché que les tumeurs de l’intestin et de la glande mammaire puissent être caséifiées durant la phase de guérison par les bacilles acido-résistants ou éliminées par ces microbes. A vrai dire, cela a fortement contribué à l’important essor de la chirurgie et de l’oncologie. Cependant, du point de vue biologique et médical, c’était une erreur.

5ème loi biologique :
La quintessence.
Ce que nous appelions « maladie » est maintenant considéré comme faisant partie d’un programme biologique spécial bien-fondé prévu par la nature au cours des temps (SBS).
Cette 5ème loi biologique ou « Quintessence » est l’âme de toute la Médecine Nouvelle. Certains l’appellent la « Medicina sagrada ».
C’est vrai, la Médecine Nouvelle est en quelque sorte sacralisée par cette 5ème loi qui complète et concrétise la quintessence. Songez aux perspectives gigantesques qui s’ouvrent ainsi.
D’un côté, la « medicina sagrada » est infiniment scientifique, basée sur 5 lois biologiques.
D’un autre côté, elle nous ramène à l’ancienne médecine des prêtres d’Asclépios, qui était déjà à l’époque très humaine…
D’une part, il n’existe plus les « maladies » dans le sens où on l’entendait auparavant, puisque tous les symptômes que nous pouvons constater s’expliquent facilement et peuvent être maîtrisés sans peine dans la plupart des cas.
D’autre part, nous vivons dans un monde qui n’a vraiment rien de biologique. La « medicina sagrada » ne veut pas dire que nous sommes au paradis, loin de la souffrance et de la mort, en aucun cas ! Mais cette médecine intellectuelle que l’on prétend scientifique, sans âme, terne et sans compassion, peut être abandonnée par celui qui a compris les lois et règles de la Médecine Nouvelle et qui les respecte.
La médecine est devenue maintenant cosmique, puisqu’elle applique les mêmes lois aux êtres humains, aux animaux et aux plantes. Tout est déjà programmé pour chaque créature dans son « patrimoine ». Nous pouvons aujourd’hui pour la première fois comprendre ceux qui nous entourent, les animaux et les plantes. C’est un privilège que de pouvoir vivre avec une telle conscience, de pouvoir respirer et partager avec tous ceux qui nous entourent.

C’est pour moi renversant de constater que la « maladie » est un programme spécial dont le sens est biologique. Cela remet en question non seulement les thérapies symptomatiques, mais en plus les rend absurdes. Qui voudrait encore intervenir après cette découverte dans les cycles merveilleux de la nature, dans ce programme spécial au sens biologique de la nature ?

Les « maladies » n’existent pas et n’ont jamais existé au sens où nous l’entendions. Ce ne sont que différentes phases d’un programme spécial bien-fondé (SBS) conçu par la nature.
Nous comprenons maintenant pourquoi 80 à 90 % des animaux guérissent spontanément d’eux-mêmes, même s’il s’agit de cancers. Les êtres humains guérissaient également spontanément auparavant et dans les mêmes proportions, avant qu’il n’existe la chimiothérapie, la radiothérapie, la morphine, toute cette médecine où règnent cynisme et cyanure de potassium, médecine qui panique le patient et le rend malade. Et nous comprenons maintenant aussi pourquoi 98 % de ces patients affolés meurent, alors que 95 % des patients soignés par la Médecine Nouvelle survivent !

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